Investir dans les start-up, c’est rentable

Aujourd’hui, les rendements des livrets classiques d’épargne et des assurances-vie sont faibles et ne cessent de diminuer. Bien que l’investissement dans des start-ups soit plus risqué avec la perte potentielle de son capital de départ, la possibilité de faire des plus-values importantes n’est cependant pas rare. Elles peuvent représenter, 5, 8, 10 fois le montant initial investi, voire encore bien plus ! En diversifiant ses investissements, la rentabilité a plus de chances d’être au rendez-vous.

Les chiffres du capital investissement donnent un aperçu de la rentabilité potentielle qu’il est possible d’avoir sur un placement dans une startup. Ces sociétés font de plus en plus confiance aux petites entreprises pour placer leurs fonds : en 2015, 78% des entreprises financées par le capital-investissement étaient des TPE-PME (contre 57% en 2014). Les fonds s’orientent de plus en plus vers les sociétés numériques : 482M€ en 2014 contre 1 751M€ en 2015, soit une croissance de plus de 260%.

Investir dans les start-up, c’est fiscalement intéressant

Pour faciliter les investissements des particuliers dans les petites entreprises, un nouveau régime a été mis en place en janvier 2015 concernant les holdings de détention de parts sociales. Auparavant deux obstacles entravaient la création de ce type de structures dans le cadre d’investissements : l’obligation pour la holding d’embaucher au moins 2 salariés dès la première année, et la limitation à 50 actionnaires maximum. Sans ces prérequis, il était impossible de bénéficier d’avantages fiscaux via une holding.

Ces deux contraintes ont été supprimées, ce qui est bénéfique à la fois pour les réseaux de Business Angels, mais aussi pour les opérations de crowdfunding. Les levées de fonds réalisées sur des plateformes d’equity-crowdfunding peuvent être réalisées grâce au regroupement dans une même structure juridique d’un nombre important de petits porteurs, supérieur à 50 investisseurs, et de bénéficier de la défiscalisation des montants investis.

Il est possible de défiscaliser :

  • 18% du montant investi sur l’impôt sur le revenu (IR)
  • 50% sur l’impôt de solidarité sur la fortune (à noter en plus que le montant investi dans le cadre de ce dispositif est ensuite déduit du calcul du patrimoine pour l’ISF durant toute la durée de vie de l’investissement).

De plus, depuis le 1e janvier 2014, un nouveau type de compte-titres a été mis en place : le PEA-PME. Comme un PEA classique, il permet de détenir des actions de sociétés, mais cette fois-ci non cotées (telles que les start-up) et d’être exonéré d’impôts sur les revenus générés (dividendes et plus-values), à condition de détenir les titres pendant 5 ans minimum et pour un montant de placement n’excédant pas 75 000€.

Ces mesures fiscales avantageuses sont autant d’arguments pour que les Français soutiennent directement la croissance économique réelle en plaçant leur épargne dans le capital des petites entreprises françaises. Ces mesures cherchent également à démocratiser l’accès des non professionnel à l’investissement en capital, y compris aux épargnants n’ayant pas de gros patrimoine. D’un point de vue individuel, les investisseurs ont le sentiment de contribuer concrètement au développement de projets innovants qui font la richesse de notre économie.

Via les plateformes de crowdfunding en equity telles que Sowefund, il est possible de profiter de la défiscalisation dès 100€ investis dans des entreprises françaises non cotées.

Investir dans les start-up, c’est simplement rejoindre une aventure passionnante

Last but no least, au-delà de toutes les bonnes raisons « rationnelles » déployées ci-dessus, le gros point fort de l’investissement en start-up est d’intégrer une aventure entrepreneuriale passionnante, riche et captivante. L’investisseur n’apporte pas que des ressources financières, mais également toute son expérience, ses connaissances, son réseau, son savoir-faire, afin de faire croitre personnellement l’activité économique pour laquelle il a apporté des fonds. Des échanges et relations fortes se nouent entre les porteurs de projets et ses financeurs, qui sont sollicités à part entière pour donner leurs avis, leurs conseils, exprimer leurs opinions, ce qu’il n’est pas possible de retrouver lorsque l’on investit dans des grands groupes où les investisseurs sont tous noyés et confondus.

Grâce au crowdfunding, les citoyens n’ont même pas besoin d’être un expert de la finance. Ils ont accès à toutes les informations pour pouvoir prendre leur décision (Business Plan, prévisionnels, description et même rencontres avec les équipes dirigeantes, …), et celles-ci sont simplifiées au maximum pour que les investisseurs puissent se faire leur opinion le plus sereinement possible. Très souvent, les équipes de plateformes de crowdfunding sont disponibles pour parler des projets qu’elles mettent en ligne, qu’elles connaissent sur le bout des doigts et dans lesquelles elles croient. Elles orientent et conseillent, tout ça sans frais, contrairement à des intermédiaires financiers tels que les sociétés de gestion, les banques de gestion privée ou les gestionnaires de patrimoine. Sowefund notamment vous propose un accompagnement très personnalisé, en fonction de vos centres d’intérêt ou encore de votre expérience de l’investissement.

Alors n’hésitez plus, prenez part !

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