La qualité de l’équipe est l’un des critères principaux avant de décider d’investir dans une start-up. Chez Sowefund : la compétence, la passion, l’expérience et le sérieux des entrepreneurs sont autant d’éléments décisifs dans la sélection des projets. Nous vous proposons aujourd’hui de rencontrer Olivier Julé, co-fondateur et CEO de BioCellVia, qui vous convaincra sans doute de le suivre dans son aventure entrepreneuriale.

 

Qui se cache derrière BioCellVia ?

Biocellvia, c’est depuis ses débuts une équipe de trois personnes passionnées. A l’origine, une histoire familiale et aujourd’hui un réel projet d’entreprise. Il y a d’un côté mon père, Yvon Julé, réalisant une brillante carrière de Docteur Scientifique, conclue par un titre de Professeur Académique avec plus d’une cinquantaine de publications scientifiques à son actif. De l’autre, un fils gestionnaire et entrepreneur qui s’emploie à faire grandir ce beau projet. Sans oublier Jean-Claude, le troisième pilier de Biocellvia. Présent depuis les débuts, c’est un physicien et informaticien reconnu qui, par ses talents, développe notre technologie.

 

Quel est votre parcours ?

Deux parcours Universitaires d’un côté et un parcours en finances de l’autre. Jean-Claude a été chercheur au CNRS, à l’INSERM et à l’Université. Mon père, Yvon, Docteur et Professeur. Moi-même, j’ai effectué toute ma carrière dans la gestion de patrimoine, dont cinq ans chez BNP Paribas Banque Privée, où j’ai pu développer un sens du service aigu et implémenter des process efficients pour une efficacité optimale à destination de la clientèle.

 

Pourquoi avoir créé BioCellVia ?

Le sujet sur lequel nous travaillions, l’analyse numérique (l’imagerie, la transformation digitale), avait une dimension immense. Ce n’est pas un sujet de niche mais une vraie révolution en interne pour la communauté scientifique et l’industrie pharmaceutique. Un sujet d’envergure mondiale pour l’un des plus grands secteurs industriels, où il y avait tout à faire. Nous devions donc créer Biocellvia.

Travaillant actuellement sur 3 pathologies, nous avons encore plusieurs étapes dans notre stratégie de développement. Nous avons la volonté pour l’avenir d’appliquer notre savoir-faire et notre vision à l’imagerie médicale pour l’Homme.

 

Pourquoi ce nom ?

Nous souhaitions faire comprendre au plus grand nombre notre métier : Bio, car nous exerçons dans le secteur de la biologie. Cell, pour cellule en anglais et Via, la voie en latin. Pour un secteur technique comme le nôtre, ce nom permet de simplifier notre activité. Pour la petite anecdote, ce jeu de mot est une trouvaille de mon père.

 

Quelle est la philosophie / l’esprit de Biocellvia ?

Nous avons deux philosophies qui nous animent au quotidien. La première : être extrêmement innovant, toujours à la pointe. C’est vraiment notre culture d’entreprise. La seconde, c’est l’excellence du travail et des services que l’on produit. Nous avons par ailleurs une réputation de gens extrêmement fiables, produisant un travail de grande qualité. Toutes nos actions sont portées pour une pleine satisfaction de nos clients.

 

Que préférez-vous dans le fait d’être entrepreneur ?

Être entrepreneur me permet de mettre en place ma stratégie et ma vision d’entreprise. Si elle fonctionne, les bénéfices sont immédiats. Si ce n’est pas le cas, cela permet d’apprendre rapidement de ses erreurs pour ne pas les reproduire. C’est un apprentissage au quotidien. Étape par étape, c’est une entreprise qui se construit, quelque chose de concret, qui apporte une réelle innovation de rupture sur son secteur.

Je pense que j’ai toujours eu envie de me lancer dans cette aventure, avec cette fibre en moi. Il ne faut pas idéaliser le fait d’être chef d’entreprise. C’est une situation difficile où l’on se retrouve fréquemment très seul face à ses problèmes, face aux choix qui doivent être pris, … En revanche, ce sont de très grandes satisfactions lorsque l’on réussit. Il ne faut pas avoir peur de prendre les choses en main et de les réaliser. Au quotidien, il faut analyser les problématiques, les dénouer et les solutionner.

 

Pourquoi levez-vous des fonds aujourd’hui ?

La principale raison de notre levée de fonds est de nous permettre de développer des tests pour de nouvelles pathologies (en moyenne 3 nouveaux tests tous les 2 ans pour arriver à un portefeuille de 10 tests dans 5 ans). Cela passe par le recrutement de talents scientifiques. Ce renforcement des équipes aura également vocation à poursuivre l’internationalisation de nos services que nous avons lancée il y a maintenant plusieurs mois.

 

Pourquoi avoir choisi Sowefund ?

Sowefund a tout de suite compris notre technologie, notre business et le marché sur lequel nous opérons. En pleine croissance et possédant un regard neuf, Sowefund est allé au bout du sujet, ils nous ont écoutés, ont cru en nous. Il y a eu un vrai « match » comme on dit. L’expérience des fondateurs (Georges Viglietti et Benjamin Wattinne) en termes de start-up s’est ressentie lors de nos rencontres et j’ai pris la décision de lever des fonds avec eux.

 

Un dernier mot à vos futurs investisseurs ?

Nous sommes actuellement très sollicités pour notre technologie, notamment par de nombreuses équipes académiques scientifiques internationales. Nous sommes promis à un brillant avenir. Avec notre technologie aboutie, nous répondons et solutionnons parfaitement un réel problème que connait aujourd’hui l’industrie pharmaceutique.

Le besoin de réduire ses coûts sur la problématique des phases de test est un objectif-clé pour nos clients.

Le développement de nouvelles pathologies et de publications scientifiques, que nous produisons et qui devraient être publiées prochainement, accroit notre champ de compétences. De plus, nous avons une réelle volonté d’internationalisation, en Amérique du Nord principalement.  Ce sont des signaux très positifs pour Biocellvia.

 

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