Les bonnes nouvelles s’enchaînent pour la health tech marseillaise : elle dope sa croissance en travaillant avec les plus grands leaders d’opinion mondiaux , et sa technologie est capable de poser un diagnostic fiable et précis sur les patients atteints de la NASH en quelques heures seulement. Les Echos ont même consacré un article à la pépite marseillaise en plein boom.


Biocellvia, à travers son directeur scientifique : le Pr. Yvon Julé, a co-signé deux articles scientifiques majeurs avec des équipes de recherche européennes et américaines de premier plan. Le premier vient d’être publié dans American Journal of Physiology  (août 2019).
Dans cette publication, la prestigieuse équipe de recherche de Duke University dirigée par le Pr. Anna-Mae Diehl ainsi qu’une équipe de l’University de Caroline du Sud mettent en avant un nouveau mécanisme biologique dans le développement de cette maladie. La technologie de Biocellvia a joué un rôle-clé dans cette découverte d’ampleur mondiale. La startup marseillaise a également publié avec l’équipe européenne dirigée par le Pr. Leclercq (Université de Louvain), elle aussi leader d’opinion sur cette maladie.



Biocellvia a mis à disposition des chercheurs sa technologie d’analyse d’images dédiée à la NASH. Ce logiciel, validé scientifiquement et breveté mesure très précisément le niveau de gravité de la maladie. Biocellvia va désormais commercialiser sa technologie auprès des laboratoires pharmaceutiques pour accélérer leurs recherches en leur offrant des données extrêmement fiables qui leur permettent de mesurer de façon extrêmement fine l’efficacité des futurs médicaments. Grâce aux données produites par Biocellvia, seules les molécules réellement actives contre la « maladie du foie gras » passent en essai sur l’Homme (phase clinique) avant une éventuelle mise à disposition des patients. A ce jour, il n’y a toujours pas de médicament disponible contre cette maladie.

L’aventure Biocellvia continue plus que jamais ! La biotech marseillaise ouvre son capital à de nouveaux investisseurs qui permettront de financer ses nouveaux projets : décliner la technologie Biocellvia sur de nouvelles maladies : oncologie (cancer du sein et du poumon) ainsi que les maladies neurodégénératives (Alzheimer et Parkinson). Deuxième objectif, finaliser les affaires réglementaires en Europe et aux Etats-Unis pour commercialiser nos logiciels en phase clinique. Nous recherchons 1 million d’euros pour asseoir notre développement. Pour en savoir plus cliquez ICI.


Les logiciels développés par Biocellvia sont d’ores et déjà commercialisés pour d’autres maladies comme certaines pathologies respiratoires : fibrose pulmonaire, BPCO. La startup française possède déjà de solides références comme GSK ou Boehringer Ingelheim. Biocellvia apporte une innovation-clé à l’industrie pharmaceutique car encore aujourd’hui, l’efficacité des futurs médicaments est mesurée de façon visuelle (le scoring). L’analyse d’images numérique et quantitative, qui produit des données fiables constitue une révolution pour le secteur.