Le secteur des énergies vit de grands changements depuis quelques années. Avec la démocratisation des énergies renouvelables et la diminution des énergies fossiles, le monde doit s’accommoder de nouveaux systèmes de production d’énergies. En effet, de nombreux accords ont été convenus ces dernières années dont ceux de la COP 26, où a été mentionné pour la première fois un soutien financier pour les énergies renouvelables.
De nombreux systèmes propres sont déjà promus, comme l’arrivée de l’éolien offshore ou bien de centrales vertes.
La biomasse est un procédé très ancien, mais qui, une fois modernisé, offre toutes les qualités d’une énergie écoresponsable.
L’énergie : un secteur en pleine mutation
En 2015, d’après la loi n°2015-992, beaucoup de pays industrialisés tels que la France se sont fixés comme objectif d’atteindre 30% d’énergies issues de sources renouvelables avant 2030. Hors, les solutions actuelles ne peuvent pas assurer l’intégralité de ces objectifs. Pour les atteindre, une nouvelle solution est prise en compte, celle de la création d’énergie par la valorisation du bois, des déchets de biomasse ainsi que des résidus venant du tri sélectif.
Il est temps que le monde de l’énergie change. En effet, pendant longtemps les entreprises et les collectivités produisaient des déchets de biomasse sans par la suite les recycler. Les déchets se retrouvaient ainsi enfouis dans les sols ce qui avait un impact environnemental élevé. Ce gaspillage avait pour conséquences des pollutions graves des sols et de l’eau, et un impact sur notre santé.
Le marché de l’énergie a aujourd’hui de réels besoins avec des pays industrialisés qui souhaitent de plus en plus convertir leurs énergies fossiles en énergies vertes. Des ressources renouvelables telles que du bois, des plantes, des déchets et du gaz produit par une matière organique, sont aujourd’hui utilisées en tant que combustible pour la production d’énergie. Cela représente une réelle opportunité pour les adeptes d’un monde plus vert.
Quelles sont les alternatives aux centres d’enfouissement ?
Pour lutter contre le gaspillage des déchets, la France a fixé des objectifs de valorisation des déchets pour les entreprises. En effet, d’après la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire 50% des déchets non valorisés devront dorénavant l’être d’ici à 2030.
On remarque que les entreprises et les collectivités se sentent de plus en plus concernées par l’impact environnemental. Ils se soucient de plus en plus du recyclage et de la valorisation des déchets, laissant de côté l’enfouissement, qui représentait jusqu’à aujourd’hui un enjeu majeur. En effet, la croissance des besoins en matières premières dans le monde poussent les Hommes à mieux consommer et à recycler. Dans une logique de mieux consommer, mieux trier, mieux recycler, les outils de traitements traditionnels de déchets comme les centres d’enfouissement sont aujourd’hui dépassés par les enjeux environnementaux. Cette année, la taxe sur les déchets non-recyclés a d’ailleurs augmenté de 5€ pour favoriser le développement des nouveaux combustibles. Elle est aujourd’hui à 37€/tonne soit 12 euros de plus par rapport à 2020.
Des solutions existent pour valoriser les déchets locaux comme les mini centrales vertes produites par la société Mini Green Power. Cette dernière utilise les déchets destinés à l’enfouissement pour les transformer en énergie propre.
Mini Green Power : la société qui valorise les déchets
Mini Green Power conçoit et assemble des Mini Centrales Vertes qui sont modulaires, autonomes et contrôlables à distance.
La société répond ainsi à tous les critères pour faire partie des solutions qui vont permettre à la France d’atteindre son objectif relatif à la transition énergétique pour la croissance verte.
La technologie de Mini Green Power ainsi que son produit, ont été testés, approuvés et brevetés. Depuis sa création, la société a installé 4 mini centrales vertes dont 1 prototype. Parmi les 4 autres centrales, l’une comprend un sécheur et a démarré en 2020.
Les mini centrales vertes représentent une innovation entièrement automatisée et contrôlable à distance, garantissant l’autonomie de la centrale. 1 à 10 MW sont produits par 3 types de centrales pour 1000 à 20000 tonnes de déchets consommés.
Le sécheur vert permet de sécher une large gamme de produits avec une emprise au sol minimale et un système de contrôle-commande performant associé à une base de données big data. Les sécheurs sont associés aux mini centrales, utilisent de la chaleur verte et apportent une solution nouvelle de séchage écologique.
Toute cette technologie est une preuve de l’efficacité de Mini Green Power mais aussi de sa robustesse et de sa rentabilité par rapport aux autres solutions du marché. En effet, la société présente des avantages incontestables par rapport à ses concurrents. Ses mini centrales et ses sécheurs permettent de produire de l’énergie verte moins taxée et moins polluante que des centrales gaz mais aussi plus rentable et plus pérenne que des centrales biomasse.
Enfin, cette année la société a renouvelé 2 certifications. La certification ISO 9001 pour le management de la Qualité a été renouvelée pour la 5e année consécutive et la certification ISO 45 001 pour le management de la santé et de la sécurité du travail pour la 2e année consécutive.
Une levée de fonds sur Sowefund
Aujourd’hui, Mini Green Power recherche 500 000€ à 1M€ en capital.
Cette levée de fonds servira à financer à 50% la standardisation des processus d’ingénierie et de sous-traitance de la fabrication. Ensuite, les 50% restant serviront à financer les investissements dans des systèmes d’informations numériques ainsi que des recrutements de profils d’experts au sein du Bureau d’Études, dans le but d’accompagner la mise en œuvre de nouveaux contacts.