La population mondiale ne cesse de s’agrandir et tout le monde souhaite avoir son chez soi … avec un toit. Nos villes s’étendent et le secteur de la construction est en croissance constante.
En effet, chaque jour, à travers le monde, plus de 20 millions de m2 de toiture sont installés. De quoi remplacer tous les toits de Paris en seulement cinq jours !

LE MARCHÉ DE LA TOITURE AUJOURD’HUI

On peut distinguer trois typologies de toitures : la toiture en pente (la plus courante), la toiture arrondie et la toiture plate (plus rares).
Concernant la toiture en pente, le marché est évalué à plus de 92 Mds$ en 2017 et une croissance est prévue de 5% par an, sans interruption, jusqu’à 2026. Cette croissance est stimulée à la fois par le rythme de la construction, et des travaux de rénovation. 

Ceci dit, dans le monde de la construction et du bâtiment, la toiture est considérée comme la 5ème façade de la maison. Celle-ci permet tout d’abord de protéger sa maison, mais également de lui apporter du cachet et de raviver son charme. De ce fait, parmi les contraintes esthétiques et techniques, s’imposent également des questions de réglementation. Sélectionner sa toiture n’est donc pas un choix à prendre à la légère.

UNE FUITE POUR L’ENVIRONNEMENT

L’importance du marché de la construction et du bâtiment au niveau mondial impacte négativement notre environnement, sa durabilité et son équilibre. En effet, la grande majorité des toitures sont constituées de composants majoritairement non recyclables. De plus, ils sont produits à partir de matières non renouvelables et issus de méthodes de fabrication et d’extraction qui génèrent une forte empreinte carbone. 

La loi PINEL mentionne également une nouvelle réglementation thermique qui devrait être établie d’ici fin 2020. Cette réglementation a pour but d’établir de meilleures performances thermiques à travers un bilan carbone, ce qui mettra en valeur les toitures à base de matériaux bio-sourcés.

Par conséquent, ce marché constitue 40% des émissions de Co² et 40% des déchets des pays développés. De plus, la toiture traditionnelle n’est pas forcément un bon isolant thermique. En effet, une toiture mal isolée est responsable de plus de 25% des déperditions thermiques. Dans les pays développés, ce secteur représente ainsi plus de 37% de la consommation d’énergie.

UNE SOLUTION CLÉ EN MAIN

On observe aujourd’hui une besoin grandissant de construire de manière durable, tant de la part des acteurs publics que des particuliers.

Dans cette démarche éco-responsable, la société Celloz propose une toiture avec un procédé doublement breveté d’un matériau fabriqué à base de fibres de cellulose, issues du papier recyclé et associées à des substances végétales. Ce matériau de toiture, disponible en multiples formes et design, est ainsi capable de remplacer ceux existants. Il est également résistant à l’eau et à la chaleur, et permet une bonne isolation thermique et acoustique, tout en étant léger et flexible. 

Celloz ambitionne de commercialiser sa toiture auprès du marché de la toiture secondaire (constructions non habitables) qui représente plus de 88 M€ en France. De nombreuses opportunités restent à saisir sur le marché de la construction (ajout de panneaux photovoltaïques par exemple). Alors si vous aussi vous êtes convaincus du besoin d’innovation dans la durabilité et l’impact sur l’environnement de ce secteur, sachez que Celloz est en levée de fonds active sur Sowefund.